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  • Inauguration des Galeries Lafayette Cannes du 18 au 21 Mai 2017

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    Même si le rythme passionnant et trépidant du festival me laisse rarement le temps et le loisir de faire du shopping, je passe toujours faire un tour aux Galeries Lafayette, le magasin étant de surcroît situé à deux pas du palais des festivals.

    Du 18 au 21 mai prochains, les Galeries Lafayette Cannes célèbrent l’inauguration d’un tout nouveau concept, dévoilé pour la première fois sur la French Riviera. Avec plus d’un siècle d’histoire, le magasin accueillera ses visiteurs dans un lieu réinventé, vivant, connecté, en lien avec sa ville et son patrimoine.
    Véritable lieu d’inspiration  le magasin fera vivre les tendances mode aux cannois qui vivront une nouvelle expérience: l’harmonisation des espaces facilite la lisibilité des collections, la sélection minutieuse du mobilier diffuse une atmosphère chaleureuse à l’ensemble des étages tandis que l’arrivée du showroom maroquinerie digital et de nombreuses nouvelles marques, agrandit l’offre mode du magasin.
    L’inauguration, rythmée par les 70 ans du Festival de Cannes, invitera les cannois à voyager entre mode et histoire du septième art au cours d’une grande célébration !
     

    Pour célébrer les 70 ans du Festival, les Galeries Lafayette s’associent à la Ville de Cannes pour créer un voyage entre mode et cinéma ! En voici le programme :


    LE PROGRAMME DE LA CÉLÉBRATION


    JEUDI 18 MAI
    A partir de 16 heures rue Foch, le jury des 70 ans du Festival décernera le prix des Égéries du Festival à deux des 18 finalistes du casting national de l’Agence Enjoy Models. Ces deux égéries auront le privilège de monter les marches du Festival de Cannes habillées par la marque Galeries Lafayette.

    17 HEURES | Les Galeries Lafayette convient le public à assister à une
     grande célébration en plein air. Au rythme de la mode et du cinéma, divers
     tableaux mettront la jeune création et les tendances de la saison à l’honneur. 

    TABLEAU 1 | LE FESTIVAL QUI N’A PAS EU LIEU |

    Par les créatrices du Cours Privé de Mode Aline Buffet

    TABLEAU 2 | VINTAGE DOLCE VITA |

    Proposition de la créatrice cannoise «Couleurs de Lune» d’une collection vintage inspirée des années 1950-1960 et du cinéma de Frederico Fellini.


    TABLEAU 3 | HOMMAGE AU CINÉASTE JACQUES DEMY | GALERIES LAFAYETTE |

    Illustration d’une certaine idée du Chic à la française, et référence au cinéma coloré et vivant de Jacques Demy.


    TABLEAU 4 | LE GRAND BLANC | GALERIES LAFAYETTE |

    La pureté intemporelle qui traverse les modes et les époques, à l’image du Jardin des Finzi-Contini de Vittorio De Sica


    TABLEAU 5 | LAETITIA IVANEZ | GALERIES LAFAYETTE |

    L’esprit des créations de la Directrice artistique de la marque Galeries Lafayette : une mode colorée, moderne, inspirée du cinéma de Godard, une mode qui se conjugue au féminin/masculin.

    Dès 18 heures, l’univers  lumineux et  innovant du  nouveau  magasin ouvrira ses portes.

    Showroom digital au rayon maroquinerie, nouvelles marques et de nombreuses
     surprises seront au rendez-vous : photo-call, animations mode et avantages
     exclusifs dans une atmosphère cocktail jusqu’à 21 heures. Un moment privilégié pour
     découvrir cet espace inédit dédié à la mode et à la beauté et profiter d’une remise exceptionnelle en magasin.


    REZ-DE-CHAUSSÉE | JAZZ BAND GAMCOVER | SAXOPHONISTE | PHOTO-CALL | ATELIER MAKEUP AVEC L’ORÉAL PARIS 


    1ER ÉTAGE | SET DE DJ ADAMANDY | SHARING BOX


    2E ÉTAGE | SHARING BOX | SECRET VIOLIN


    3E ÉTAGE | GLACES ROULÉES RÖLLOFRISK | LE CHEF CANNOIS CHRISTOPHE FERRÉ|
     
     LE CHAMPION DU MONDE DE PATISSERIE JERÔME DE OLIVEIRA


    DU VENDREDI 19 MAI AU DIMANCHE 21 MAI


    Un jeu concours permettra de profiter de cadeaux exceptionnels et de participer au grand tirage au sort le dimanche soir.

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    Du 11 au 21 mai 2016 de 11h à 19h , au rez-de-chaussée du magasin, vous pourrez aussi bénéficier  d’une mise en beauté par les  maquilleuses professionnelles de la marque partenaire du Festival International du Film, l’Oréal Paris.

    Adresse :
    6 rue du Maréchal Foch
    06400 Cannes
    Téléphone : 04 97 06 25 00

    Horaires

    Lundi : de 9:30 à 19:30
    Mardi : de 9:30 à 19:30
    Mercredi : de 9:30 à 19:30
    Jeudi : de 9:30 à 19:30
    Vendredi : de 9:30 à 19:30
    Samedi : de 9:30 à 20:00
    Dimanche : de 11:00 à 19:00

     

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  • Le formidable programme de Cannes Classics pour les 70 ans du Festival de Cannes

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    Comme annoncé lors de la conférence de presse officielle du festival le mois dernier, le programme de Cannes Classics 2017 sera dédié en grande partie à l'histoire du festival. Comme chaque année, cette sélection permettra d'afficher le travail de valorisation du patrimoine effectué par les sociétés de production, les ayants-droit,  les cinémathèques ou les archives nationales à travers le monde.

    Cannes classics permet ainsi de revoir des chefs-d'œuvre de l'histoire du cinéma en copies restaurées. Le programme de l'édition de Cannes Classics 2017 se compose de 24 séances, un court-métrage et cinq documentaires. Les films seront projetés dans le Palais des Festivals, en présence de ceux qui les ont restaurés et lorsqu'ils sont encore parmi nous de ceux qui les ont réalisés.

    Seront ainsi projetés 16 films ayant marqué l'histoire du festival  de 1946 à 1992 :

    1946 : La Bataille du Rail de René Clément (France) : Grand Prix International de la mise en scène et Prix du Jury International

    • 1953 : Le Salaire de la peur de Henri-Georges Clouzot (1952, France, Italie) : Grand Prix
    • 1956 : Un petit carrousel de fête de Zoltán Fábri (1955, Hongrie) : en Compétition
    • 1957 : Vers l’inconnu ? de Georges Nasser (Liban) : en Compétition
    • 1967 : J’ai même rencontré des Tziganes heureux d'Aleksandar Petrović (Serbie) : en Compétition, Grand Prix Spécial du Jury, Prix de la Critique Internationale - FIPRESCI ex-aequo
    • 1967 : Blow-up de Michelangelo Antonioni (1966, Royaume-Uni, Italie, ÉtatsUnis) : Grand Prix International du Festival
    • 1969 : Matzor (Siège) de Gilberto Tofano (Israël) : en Compétition
    • 1970 : Soleil O de Med Hondo (Mauritanie, France) : Semaine de la Critique
    • 1976 : Babatu, les trois conseils de Jean Rouch (Niger, France) : en Compétition
    • 1976 : L’Empire des sens de Nagisa Oshima (France, Japon) : Quinzaine des Réalisateurs
    • 1980 : All that Jazz (Que le spectacle commence) de Bob Fosse (1979, ÉtatsUnis) : Palme d’or
    • 1981 : L’Homme de fer d'Andrzej Wajda (Pologne) : Palme d’or
    • 1982 : La Permission de Yilmaz Güney, réalisé par Serif Gören (Suisse) : Palme d’or ex-aequo, Prix de la Critique Internationale - FIPRESCI
    • 1983 : La Ballade de Narayama de Shôhei Imamura (Japon) : Palme d’or
    • 1992 : El sol del membrillo (Le Songe de la lumière) de Victor Erice  (Espagne) : Compétition, Prix du Jury ex-aequo, Prix de la Critique Internationale - FIPRESCI
    • 1951-1999 : Une brève histoire des courts métrages présentés par le Festival de Cannes. Un programme présenté par Christian Jeune et Jacques Kermabon.

    D'autres évènements, d'autres films restaurés, d'autres invités :

     
             . Madame de… de Max Ophüls (1953, France) : Séance proposée en hommage à Danielle Darrieux à l’occasion de son anniversaire, et présentée par Dominique Besnehard, Pierre Murat et Henri-Jean Servat qui présentera la dernière interview filmée de Danielle Darrieux.
    • L’Atalante de Jean Vigo (1934, France) en copie restaurée 35mm
    • Native Son (Sang noir) de Pierre Chenal (1951, Argentine)
    • Paparazzi de Jacques Rozier (1963, France)
    • Belle de jour de Luis Buñuel (1967, Espagne, France)
    • Et au milieu coule une rivière de Robert Redford (1992, États-Unis)
    • Lucía de Humberto Solas (1968, Cuba)

    Documentaires sur le Cinéma :

    • La belge histoire du festival de Cannes de Henri de Gerlache (2017, Belgique)
    • Filmworker de Tony Zierra (2017, États-Unis)
    • Becoming Cary Grant (Cary Grant - de l’autre côté du miroir) de Mark Kidel (2017,France)
    • Jean Douchet, l’enfant agité de Fabien Hagège, Guillaume Namur, Vincent Haasser (2017, France)

     

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  • Critique de CAFE SOCIETY de Woody Allen (film d'ouverture du Festival de Cannes 2016, bientôt sur Canal +)

     

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    Comme chaque mois désormais, vous pourrez retrouver une de mes critiques sur le site de Canal +. Ce mois-ci, j'ai choisi le film d'ouverture du 69ème Festival de Cannes en attendant le 70ème en direct duquel vous pourrez me suivre dès le 16 Mai. Retrouvez ma critique sur le site officiel de Canal + en cliquant ici.

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    Quelle judicieuse idée du Festival de Cannes l’an passé que d’avoir à nouveau sélectionné comme film d’ouverture un long-métrage de Woody Allen (après « Hollywood ending » en 2002 et « Minuit à Paris » en 2011), promesse toujours de tendre ironie, de causticité mélancolique mais aussi en l’occurrence de villes baignées de lumière. Comme un écho à l’affiche de la 69ème édition du festival, incandescente, solaire, ouvrant sur de nouveaux horizons (image tirée du « Mépris » de Godard) et sur cette ascension solitaire, teintée de langueur et de mélancolie comme une parabole de celle des 24 marches les plus célèbres au monde. Un film d’ouverture comme une mise en abyme puisque le plus grand festival de cinéma au monde s’ouvrait sur un film qui mettait en scène le monde du cinéma…

    Ce nouveau film de Woody Allen nous emmène ainsi à New York, dans les années 30. Entre des parents conflictuels et un frère gangster (qualifié de « colérique » alors qu’il a une fâcheuse tendance à régler les problèmes par le meurtre ou l’art de l’euphémisme acerbe signé Woody Allen), Bobby Dorfman (Jesse Eisenberg) a le sentiment d'étouffer.  Il décide donc de tenter sa chance à Hollywood où son oncle Phil (Steve Carell), puissant agent de stars, après l’avoir fait patienter trois semaines, trouve finalement le temps de le recevoir et de l'engager comme coursier. À Hollywood, Bobby tombe immédiatement sous le charme de la secrétaire de Phil, Vonnie, (Kristen Stewart) à qui ce dernier à donner pour mission de lui faire découvrir la ville. Malheureusement, Vonnie n'est pas libre et lui dit être éprise d’un mystérieux journaliste. Il doit alors se contenter de son amitié et de promenades dans la ville.  Jusqu'au jour où elle lui annonce que son petit ami vient de rompre. Soudain, l'horizon semble s'éclaircir pour Bobby mais nous sommes dans un film de Woody Allen et l’ironie tragique de l’existence finit toujours par s’en mêler…

    Un film de Woody Allen comporte des incontournables, ce qui rend ses films singuliers et jubilatoires. La virtuosité de ses scènes d’ouverture qui vous embarquent en quelques mots, notes et images, vous immergent d’emblée dans un univers et brossent des personnages avec une habileté époustouflante : ici les années 30 dans une somptueuse villa et dans le faste tonitruant d’Hollywood, le tout porté par une musique jazzy et la voix off de Woody Allen.  Des dialogues cinglants et réjouissants qui suscitent un rire teinté de désenchantement : il excelle ici à nouveau dans l’exercice. Des personnages qui sont comme les doubles du cinéaste : Jesse Eisenberg en l’occurrence qui emprunte son phrasé, sa démarche, sa gestuelle sans le singer, avec une maestria indéniable.  Des personnages brillamment dessinés : quelle belle galerie de portraits à nouveau avec parfois des personnages caractérisés d’une réplique. Le jazz dont la tristesse sous-jacente à ses notes joyeuses fait écho à la joie trompeuse des personnages. Des pensées sur la vie, l’amour, la mort. Une mise en scène élégante sublimée ici par la photographie du chef opérateur triplement oscarisé Vittorio Storaro (pour « Apocalypse now », « Reds », « Le dernier empereur ») qui travaille pour la première fois avec Woody Allen, et pour la première fois en numérique.

    Ajoutez à cela la grâce et l’intelligence de jeu de Kristen Stewart, éblouissante, dont le regard un instant s’évade et se voile de mélancolie, des seconds rôles excellents et excellemment écrits, la voix de Woody Allen narrateur, une écriture d’une précision redoutable et vous obtiendrez un film au charme nostalgique et ravageur.

    La caméra virtuose de Woody Allen tournoie à l’image de cette société virevoltante dont les excès et les lumières étourdissent et masquent la vérité et les désillusions.  Tous ces noms célèbres cités et égrenés le sont comme un masque sur la vanité de l’existence.  Woody Allen fait dire à un de ses personnages «  Il sait donner au drame une touche de légèreté » alors pour le paraphraser disons qu’ici Woody Allen sait donner à la légèreté une touche de drame. Si drame et comédie s’enlacent et se confondent, le film est par ailleurs construit comme une brillante dichotomie (que symbolise très bien une scène de conversation entre Bobby et Phil, chacun assis sous une colonne, l’espace scindé en deux) : la vérité et le cinéma, New York et Hollywood etc.  Quelle vitalité, lucidité, modernité dans le 47ème film de cet octogénaire !

    Plus qu’une chronique acide sur Hollywood que le film aurait seulement et simplement pu être (Hollywood qualifiée ici tout de même de « milieu barbant, hostile, féroce » et dont Woody Allen n’épargne pas le vain orgueil et la superficialité), c’est surtout un nouvel hommage à la beauté incendiaire de New York empreint d'une féroce nostalgie mais aussi  un hymne aux amours impossibles qui auréolent l’existence d’une lumineuse mélancolie. « L’amour est une émotion et les émotions ne sont pas rationnelles. On tombe amoureux et on perd le contrôle ».  « Le côté poignant de la vie : accepter qu’elle n’ait pas de sens et même se réjouir qu’elle n’ait pas de sens. » Le film se passe dans les années 30. 1939, qui sait ? Et ce réveillon de la nouvelle année par lequel il s’achève est peut-être annonciateur d’un autre crépuscule, celui d’une autre paix bien fragile que cette Café Society qui se noie dans une joie partiellement factice essaie peut-être d’occulter.

    Une scène vaudevillesque digne de Lubitsch et une autre romantique à Central Park valent  à elles seules le voyage. Mais aussi tant de quelques réjouissantes citations parmi lesquelles :

    «  La vie est une comédie écrite par un auteur sadique. »

    « Vis chaque jour comme le dernier, un jour ça le sera. »

     « Tu es trop idiot pour comprendre ce que la mort implique .»

    « C’est bête que les Juifs ne proposent pas de vie après la mort, ils auraient plus de clients. »

    « L’amour sans retour fait plus de victimes que la tuberculose. »

    Le film précédent de Woody Allen qui avait ouvert le festival de Cannes, « Minuit à Paris » était une déclaration d’amour à Paris, au pouvoir de l’illusion, de l’imagination,  à la magie de la ville lumière et surtout à celle du cinéma qui nous permet de croire à tout, même qu’il est possible au passé et au présent de se rencontrer et de s’étreindre, le cinéma  évasion salutaire  «  dans une époque bruyante et compliquée ». Ce film-ci est plus empreint de pessimisme, de renoncement mais c’est notre cœur qu’il étreint, une fois de plus… Le film idéal pour une ouverture du Festival de Cannes avec New York et Hollywood nimbées de lueurs crépusculaires d’une beauté hypnotique, élégamment cruelles.  A l’image des projecteurs et des flashs aveuglants sur les marches du Festival de Cannes.

    « Dreams are dreams » entend-on dans « Café Society » comme une rengaine aux accents de regret. A l’image de ce plan de Bobby dos à la « scène », d’une mélancolie et d’une lucidité bouleversantes et redoutables. Comme un homme face à l’écran. Celui du cinéma qu’est devenue sa vie. Une « Rose pourpre du Caire » dans laquelle rêve et réalité seraient condamnés à rester à leur place. Comme un écho à la sublime affiche du film « Café Society » sur laquelle une larme dorée coule sur un visage excessivement maquillé tel un masque. Celui de la société que ce café d’apparats et d’apparences métaphorise.  Un « café society » qui vous laissera longtemps avec le souvenir de deux âmes seules au milieu de tous, d’un regard lointain et d’un regard songeur qui, par-delà l’espace, se rejoignent. Deux regards douloureusement beaux. Bouleversants. Comme un amour impossible, aux accents d’éternité. Un inestimable et furtif instant qui, derrière la légèreté feinte, laisse apparaître ce qu’est ce film savoureux : un petit bijou de subtilité dont la force et l’émotion vous saisissent à l’ultime seconde. Lorsque le masque, enfin, tombe.

     

    Catégories : A LA TELEVISION Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • Complément de sélection du 70ème Festival de Cannes

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    Comme cela avait été annoncé lors de la conférence de presse du 70ème Festival de Cannes (dont vous pouvez retrouver mon compte rendu ici), un complément de sélection du 70ème Festival de Cannes a été annoncé.

    Un nouveau film en compétition s'ajoute ainsi à la liste, il s'agit de THE SQUARE de Ruben ÔSTLUND. "Un directeur de musée ambitieux prépare une exposition dont l'impact va être puissant", nous indique simplement le synopsis.

    Hors compétition, nous aurons le plaisir de découvrir le nouveau film de Roman Polanski "D'après une histoire vraie" avec Emmanuelle Seigner et Eva Green. "Adaptation du roman homonyme de Delphine de Vigan centré sur l'histoire d'une romancière qui traverse un passage à vide après la parution de son dernier livre."

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    Deux films ont également été ajoutés au programme de Un Certain Regard:

    "La Cordillera" de Santiago Mitre : "Le film raconte, à la manière d’un thriller fantastique, un scandale politique et familial touchant le président de la République argentin et sa fille, durant le sommet des présidents latino-américains à Santiago du Chili. "

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    -"Walking past the future" de LI Ruijun

    Deux films ont également été ajoutés en séances spéciales :

    "Le Vénérable W." de Barbe Schroeder : en Birmanie, le « Vénérable W. » est un moine bouddhiste très influent. Sortie en France en salles : le 7 juin 2017

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    "Carré 35" d'Eric Caravaca :

    Carré 35 est un lieu qui n’a jamais été nommé dans ma famille ; c’est l’emplacement de la concession où se trouve le caveau de ma sœur aînée, morte à l’âge de trois ans. Cette sœur dont on ne m’a rien dit ou presque, et dont mes parents n’avaient curieusement gardé aucune photographie. C’est pour combler cette absence d’image que j’ai entrepris ce film. Croyant simplement dérouler le fil d’une vie oubliée, j’ai ouvert une porte dérobée sur un vécu que j’ignorais, sur cette mémoire inconsciente qui est en chacun de nous et qui fait ce que nous sommes." 

    Une séance des enfants a également été ajoutée au programme:

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    -Zombillénum de Arthur de Pins et Alexis Ducord : Dans le parc d’attractions d’épouvante Zombillénium, les monstres ont le blues. Non seulement, zombies, vampires, loups garous et autres démons sont de vrais monstres dont l’âme appartient au Diable à jamais, mais en plus ils sont fatigués de leur job, fatigués de devoir divertir des humains consuméristes, voyeuristes et égoïstes, bref, fatigués de la vie de bureau en général, surtout quand celle-ci est partie pour durer une éternité... Jusqu'à l'arrivée d'Hector, un humain, contrôleur des normes de sécurité, déterminé à fermer l’établissement. Francis, le Vampire qui dirige le Parc, n’a pas le choix : il doit le mordre pour préserver leur secret. Muté en drôle de monstre, séparé de sa fille Lucie, et coincé dans le parc, Hector broie du noir... Et si il devenait finalement la nouvelle attraction phare de Zombillénium ?  

    Enfin, à l'occasion du 70ème anniversaire dont le programme sera annoncé ultérieurement :

    -Une séance hommage à André Téchiné avec une présentation de son nouveau film"Nos années folles". Adapté de l'histoire vraie d'un soldat qui déserte et qui, pour se cacher, aidé par sa compagne, se travestit en femme. 

    -Un évènement ciné-concert  de Tony Gatlif avec la projection de DJAM au cinéma de la plage

     

     

    Catégories : COMPETITION OFFICIELLE Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • La Plage Majestic 70 (by ADR prod) se dévoile...

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    Chaque année, je passe la majeure partie de mon temps entre deux projections, sur la plage Majestic (baptisée de l'année de l'édition du festival concernée, cette année ce sera donc la plage Majestic 70), plage de l'hôtel Barrière éponyme (cliquez ici pour retrouver mon article consacré à l'hôtel), gérée par ADR prod pendant le festival depuis 14 ans maintenant. L’équipe vous accueillera toujours avec affabilité et professionnalisme. C’est là, dans ce cadre idyllique, sur la plus belle plage de la Croisette depuis laquelle vous pouvez admirer le palais des festivals qu’elle jouxte, qu’ont lieu de nombreux press junkets, photocalls, déjeuners professionnels …

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    Le business lounge est aussi l’endroit idéal pour échanger au calme de l’agitation (et en même temps en son cœur) entre deux séances. Vous pourrez aussi y retrouver de prestigieuses marques. C’est là que sera célébré le début du festival mais aussi le clôture et, sans aucun doute, comme chaque année, l’élégance sera au rendez-vous lors de fêtes auxquelles Gatsby le Magnifique n’aurait rien eu à envier.

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    Cette année le Studio Créa s'est inspiré des tendances de l'été prochain... Les rayures, les lignes et les bandes obliques taquinent le pop art !  Des couleurs sereines, acidulées.. Magnifique !

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    Du rouge pour le red carpet et un esprit Fête et une touche de Bleu pour la Méditerranée illumineront le Lounge. Nous avons hâte de le découvrir ! 

    Retrouvez ADR prod sur Facebook, twitter, Instagram et sur son site internet.

    La Plage Majestic est aussi et enfin le cadre de plusieurs passages de mon premier roman qui se déroule au Festival de Cannes "L'amor dans l'âme" (Editions du 38).

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    Retrouvez ce même article sur mes sites http://inthemoodforhotelsdeluxe.com et http://inthemoodforluxe.com consacrés au luxe.

    ADR prod gère aussi d'autres lieux prestigieux pendant le Festival. Je vous les ferai prochainement découvrir.

    Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS Lien permanent 1 commentaire Pin it! Imprimer
  • L'hôtel Barrière Le Majestic de Cannes : l'antre glamour du festival !

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     © Creative Spirit

    63eme Festival de Cannes, Soiree d'ouverture, inauguration de la nouvelle aile de l'Hotel Majestic. Agence Creative Spirit, Cannes le 12 Mai 2010

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    Dans mon article sur mes bonnes adresses cannoises, à retrouver ici, j'avais placé en tête l'hôtel Barrière La Majestic, pas seulement en raison de son emplacement idyllique et idéal pour les festivaliers, juste en face des marches et du palais des festivals, mais aussi parce que c'est indéniablement le lieu qui symbolise le plus le glamour du festival, en tout cas le lieu où je préfère me réfugier entre deux séances ou dès mon arrivée à Cannes le 16 mai prochain.

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    Je connais par cœur la Croisette et les palaces qui la jalonnent et mon préféré reste ainsi l’hôtel Barrière le Majestic  à tel point que j’en ai fait le cadre de scènes clefs de mon roman « L’amor dans l’âme » publié en mars 2016 aux Editions du 38, et notamment la célèbre suite « Mélodie en sous-sol » dont vous pourrez découvrir les photos ci-dessous.

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    Dans la suite « Mélodie en sous-sol », du nom du célèbre film d’Henri Verneuil,  vous pourrez profiter de la terrasse panoramique sur la Méditerranée mais aussi du service d’un Majordome dédié et d’un accueil Top VIP. Tels Jean Gabin et Alain Delon dont les portraits surmontent la tête de lit, vous serez ainsi la star de la Suite Mélodie. La superbe fenêtre en demi-lune qui s’étend du sol au plafond, la salle de bain de marbre rose et l’accès illimité au Centre de remise en forme et à l’Espace sensoriel avec sauna, hammam et douche expérience du Spa Diane Barrière by Clarins sublimeront votre séjour.

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    Avec 8000 nuitées déjà réservées pour le Festival du Film, le Majestic reste le lieu phare du festival prêt à accueillir 25000 visiteurs pour une ou plusieurs nuits.

    Pour l'occasion, les effectifs de l'hôtel vont ainsi doublier et passer de 350 à 700 personnes. D'autres chiffres qui donnent le tournis:

    -8000 roses à disposer dans les chambres

    -14000 serviettes et 15000 draps à changer

    -25000 repas à concocter

    -18500 bouteilles à déboucher dont la moitié de champagne

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    Les chambres seront parfois entièrement vidées de leurs meubles pour servir de bureau à des producteurs, des médias etc. Les suites surtout qui servent parfois de show case à des marques prestigieuses comme Dior ou Gucci (parmi  d'autres). Dior a en effet fait du palace cannois sa seconde maison depuis que la marque a redécoré la suite éponyme de l'hôtel. 400m2 de luxe, de confort et de raffinement.

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    Pour oublier le stress du festival ou se préparer à la montée des marches, vous pouvez aussi profiter du Spa Diane Barrière pour une parenthèse "Zen".

    Autres lieux incontournables pendant le festival : les 15 salons de réunion du Majestic qui accueillent également de nombreux événements.

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    © Fabrice Rambert

    Les trois restaurants de l'hôtel sont également très sollicités. Là encore, quelques chiffres:

    -40 tonnes de fruits et légumes

    -3 tonnes de poissons

    -2 tonnes de homards

    -800 kilos de langoustes

    -350 kilos de foie gras

    -160000 œufs...

    A vous de choisir entre la discrétion de La petite Maison de Nicole, la Plage pour déjeuner pieds dans l'eau ou un dîner au Fouqet's Cannes pour déguster le menu élaboré par Pierre Gagnaire élu "meilleur chef du monde" par ses pairs.

    J'ai hâte de découvrir le nouveau décor des lieux que je ne manquerai pas de vous montrer ici (le hall et le Fouquet's ont été entièrement rénovés), un décor annoncé "entre Art Déco et Contemporain" dans lequel nous pourrons retrouver quelques-uns des 2500 clichés de stars qui ornent les lieux, des petits bijoux noir et blanc qui portent la griffe de talents reconnus comme Harcourt. Cette année, jusqu'au 30 juin, les festivaliers notamment pourront découvrir les travaux de Joanne Azoubel, des portraits intimes d'artistes français juste avant qu'ils n'entrent sur scène. Un lien de plus entre le Majestic et le 70ème art qui célèbreront cette année leur ...70ème année de mariage.

    C’est là, au Majestic que l’an passé était célébré le début du festival mais aussi le clôture et, comme chaque année, l’élégance était  au rendez-vous lors de fêtes auxquelles Gatsby le Magnifique n’aurait rien eu à envier. En 2016, j’ai aussi profité de son restaurant de plage, et notamment de son pantagruélique fish and chips.

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    En 2010, à l’occasion de l’ouverture du Festival de Cannes, le Majestic avait révélé sa nouvelle aile spectaculaire lors d’une inauguration qui l’avait également été. Avaient ainsi été dévoilés :

    -10.000 m2 supplémentaires,
    -44 nouvelles suites dont 2 suites duplex de 450 m2
    -un spa de 450 m2
    -1500 m2 de luxueuses boutiques
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    L’hôtel (membre de The Leading Hotels of the world – toujours un gage de qualité-), à l’image de sa plage, se situe à la fois en plein centre de Cannes et un peu en retrait de son agitation.
     
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    Parmi ses atouts: salle de projection, Concierge Clefs d’Or,  Spa Diane Barrière by Clarins, plage privée…
     
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    Pour les gastronomes,  dans l’hôtel, vous aurez le choix entre le Fouquet’s et la Petite Maison de Nicole. Je vous recommande vivement « Le Fouquet’s » ou de prendre un verre dans les salons, un moment toujours hors du temps.
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    L’hôtel compte 265 chambres, 84 suites dont 2 penthouses d’exception comme la sublime suite Christian Dior (cf photo  ci-dessous, vous la reconnaîtrez aisément puisque celle-ci emprunte les teintes grises et chics chères au grand couturier), un espace au sixième et splendide étage de l’aile ouest de l’hôtel, conçu par l’architecte Renaud d’Hauteserre.
     
     
    L’hôtel vous propose de nombreuses activités:
     
    -spa Diane Barrière by Clarins avec les activités suivantes:
    spaclarins
    – Zumba
    – LIA (Low Impact Aerobic)
    – TRX
    – Core training
    – Freedom Spirit
    – Pilates
    – PNL (Programmation Neuro-Linguistique)
    – LPG
    – Intraceuticals Oxygen Infusion
    mais aussi:
    -une piscine extérieure
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    -une plage privée avec de nombreuses activités nautiques
    plage
     
     
    L’hôtel dispose également d’un bar à champagne et d’un club Diwi and co pour les enfants.
     
    Si vous voulez vous détendre tout en profitant du luxe ultime, en étant en plein centre de Cannes, n’hésitez pas : choisissez le Majestic Barrière. Et sans aucun doute l’emplacement idéal pour les festivaliers.
     
    Hôtel Majestic Barrière
    10 Boulevard de la Croisette, 06400 Cannes
    Téléphone: 0492987700
    Sur twitter: @majestic_cannes
     
    Retrouvez d'autres articles luxe et notamment sur les hôtels Barrière sur mon blog http://inthemoodforhotelsdeluxe.com.
    Catégories : HÔTELS ET RESTAURANTS A CANNES Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer