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  • Le 76ème Festival de Cannes en direct ici du 16 au 27 mai 2023

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    Tandis que vous pouvez continuer à suivre l'actualité quotidienne du cinéma sur mon autre blog In the mood for cinema, je vous annonce d'ores et déjà que vous pourrez suivre ici le Festival de Cannes 2023 en direct.

    Pour l'heure, de cette 76ème édition, nous savons uniquement qu'elle se déroulera du 16 au 27 mai 2023.

    Pour ce qui est des bonnes adresses cannoises et sur la Côte d'Azur, je vous invite à les retrouver sur mon site consacré aux hôtels, In the mood for hotels de luxe.

    A très bientôt pour de nouvelles annonces consacrées à la 76ème édition du Festival de Cannes. En attendant, vous pouvez retrouver ci-dessous mes articles sur la 75ème édition ou lire mon roman L'amor dans l'âme (Editions du 38 - 2016) qui a le festival pour cadre.

    Catégories : EDITORIAUX Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • Critique de REVOIR PARIS de Alice Winocour - Quinzaine des Réalisateurs 2022

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    C’est dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs qu’a été projeté ce cinquième long-métrage d’Alice Winocour (également scénariste, de talent, notamment de Ordinary people et Mignonnes). En 2016, elle avait également fait partie du jury de la Semaine de la Critique.

    A Paris, Mia (Virginie Efira) est prise dans un attentat dans une brasserie. Trois mois plus tard, alors qu’elle n’a toujours pas réussi à reprendre le cours de sa vie et qu’elle ne se rappelle l’évènement que par bribes, Mia décide d’enquêter dans sa mémoire pour retrouver le chemin d’un bonheur possible.

    Cela commence par une fenêtre ouverte sur le monde (comme aurait dit Bazin) ou plutôt en l’occurrence une fenêtre ouverte sur les toits de Paris. Une femme arrose ses plantes, casse un verre. Elle répond à peine au « ça va » de son compagnon, semble mélancolique. Elle sursaute quand un jeune homme se jette sur une vitre du café dans lequel elle se trouve, comme si cela préfigurait le drame à venir. Il surviendra quelques minutes plus tard, terrassant, filmé à hauteur de victimes, sans jamais montrer les visages des assaillants. Tout juste nous dira-t-on qu’un des tueurs avait « une gueule d’ange ». Les bruits de mitraillettes sont terribles et assourdissants.

    Nous retrouvons ensuite Mia. « La vie a repris ». Un gâteau d’anniversaire lui en rappelle un autre, celui qu’on avait apporté à un homme à la table en face de la sienne, juste avant que ne survienne l’horreur indicible. La mémoire traumatique est là, insatiable, épuisante, surgissant au moment les plus inattendus ou incongrus. Le temps est distordu. Pour les autres, Mia est devenue une « sorte de distraction », ou bien ils évacuent le sujet d’un lapidaire « Tu as l’air en pleine forme, cela fait plaisir. » Elle, tout ce qui lui reste de cette 1H48 cachée, ce dont des images et des sons épars, et le souvenir d’un tatouage de l’homme qui lui a tenu la main à la recherche duquel elle va partir.

    Alors forcément, impossible de ne pas être bouleversée par ce Revoir Paris qui résonne en nous, que nous ayons vécu ce traumatisme ou un autre. Nous pensons à toutes ces âmes blessées pour qui « revoir Paris » doit être encore si difficile et qui y déambulent, anonymes, comme si de rien n’était, mais blessés dans leur chair et dans leur âme. La grande force de ce film est sa pudeur. L’émotion n’en est pas moins palpable. Quand on balaie les fleurs déposées en mémoire des victimes Place de la République, comme s’il s’agissait de vulgaires détritus, ou quand une jeune fille qui a perdu ses parents dans l’attentat cherche à retrouver dans le tableau éponyme le détail des Nymphéas figurant sur la carte qu’ils lui avaient envoyée, avant de mourir dans l’attentat.

    Mais ce film, ce n’est pas seulement celle d’êtres brisés, c’est aussi celle d’êtres qui ensemble cheminent vers la reconstruction, qui tissent des liens et un chemin vers la lumière, qui après cela se posent les questions sur le bonheur, ou qui encore sans se connaître se sont tenus la main, au sens propre comme au sens figuré.

    Si Mia « revoit » Paris, c’est aussi parce qu’elle la voit autrement, mais aussi qu’elle voit sa vie autrement. Elle souffre du trouble de « la mémoire récurrente involontaire » et va essayer de reconstituer les fils de cette effroyable soirée. Revoir Paris, c’est avant tout une histoire de résilience. Une fois de plus, Virginie Efira est troublante de justesse, de nuance, d’émotions, de force et fragilités mêlées. Force et fragilité mêlées, c’est aussi ce qui définit le personnage de Benoît Magimel.

    Un film d’une rare sensibilité, celle qu’il fallait pour traiter de ce sujet si récent et présent dans les mémoires. Mais aussi un film sur la mémoire traumatique qui donne des visages à cette épreuve collective avec délicatesse et dignité. Un poignant élan de vie, de réconciliation (avec soi, le passé) et d’espoir.

    Catégories : QUINZAINE DES REALISATEURS Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • Critique de TOP GUN : MAVERICK de Joseph Kosinski Share - Sélection officielle - Hors compétition

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    Cannes, c’est avant tout la compétition officielle à laquelle je consacre chaque année la majorité de mes articles ici mais ce sont aussi, en sélection officielle hors compétition, de purs moments jubilatoires de cinéma à grand spectacle, de ceux qui nous rappellent à quel point voir un film sur grand écran est un plaisir inégalé, a fortiori après ces mois de pandémie. En cela, ce blockbuster remplit pleinement son rôle et avait particulièrement sa place à Cannes, l’antre de la cinéphilie mais aussi du rêve … comme l’incarna également un film comme Gatsby le magnifique de Baz Luhrmann qui fit l’ouverture il y a quelques années.

    Après avoir été l’un des meilleurs pilotes de chasse de la Marine américaine pendant plus de trente ans, Pete “Maverick" Mitchell (Tom Cruise) continue à repousser ses limites en tant que pilote d'essai. Il refuse de monter en grade, car cela l’obligerait à renoncer à voler. Il est chargé de former un détachement de jeunes diplômés de l’école Top Gun pour une mission spéciale qu’aucun pilote n'aurait jamais imaginée. Lors de cette mission, Maverick rencontre le lieutenant Bradley “Rooster” Bradshaw (Miles Teller), le fils de son défunt ami, le navigateur Nick “Goose” Bradshaw. Face à un avenir incertain, hanté par ses fantômes, Maverick va devoir affronter ses pires cauchemars au cours d’une mission qui exigera les plus grands des sacrifices.

    L’effervescence était hier à son comble sur la Croisette avec la présence de la patrouille de France mais aussi celle de l’acteur qui incarne Pete « Maverick » Mitchell, Tom Cruise, qui, pour l’occasion, a donné une masterclass et s’est vu remettre une palme d’or d’honneur.

    En 1986, le budget de Top gun était de 15 millions de dollars. Il en avait rapporté 357. Le budget de cette suite était presque 10 fois plus élevé : 140 millions de dollars ! Le pari devrait être gagné et les recettes seront certainement au rendez-vous avec cette suite attendue depuis des décennies, une suite qui en met plein les yeux. Si elle est spectaculaire, elle n’en oublie pas pour autant l’émotion notamment dans une scène de face à face avec Tom "Iceman" Kazansky (Val Kilmer).  Certes le scénario fourmille de scènes et personnages archétypaux, voire caricaturaux, la romance est plus que convenue et même bâclée, mais c’est aussi ce que le public attend de ce genre de blockbuster, être rassuré en retrouvant ces « figures » familières.

    Le BO, entêtante et galvanisante, comme celle du film de 1986 ne manquera pas de susciter l’engouement et de contribuer au succès du film, notamment la chanson Hold My Hand signée Lady Gaga.

    La nostalgie est aussi au rendez-vous avec des clins d’œil assumés : d’un match de football américain sur la plage, clin d’œil évident à la scène de beach-volley, à des scènes de moto sur fond de soleil éblouissant.

    Un blockbuster spectaculaire qui devrait réjouir les inconditionnels de Top gun et faire venir en masse les spectateurs en salles. Certes pas de surprise : la bannière étoilée, l’honneur, l’héroïsme et les bons sentiments triomphent. Mais les scènes aériennes majestueusement chorégraphiées vous cloueront à votre siège et vous feront oublier le temps et la réalité et, rien que pour cela, ce vol ébouriffant vaut le voyage ! Rendez-vous en salles le 25 mai prochain !

    Catégories : HORS COMPETITION Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • Sélection officielle du 75ème Festival de Cannes

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    Cliquez ici pour accéder à mon article détaillant la sélection officielle du 75ème Festival de Cannes, à lire sur Inthemoodforcinema.com.

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  • Festival de Cannes 2019 - Palme d'or d'honneur et master class d'Alain Delon

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    « Ne me secouez pas, je suis plein de larmes » écrit Henri Calet dans Peau d’ours, son ultime roman inachevé, un roman qui touche tout particulièrement Alain Delon. Peut-être au fond est-ce là que réside la clef du mystère, la clef des émotions de cette journée aussi ?

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    De ce Festival de Cannes 2019, sans aucun doute la master class et la remise de la Palme d’or d’honneur à Alain Delon suivie de la projection de Monsieur Klein en resteront-elles pour moi des souvenirs indélébiles. De même que la projection du film Les plus belles années d’une vie de Claude Lelouch (mon récit et ma critique, ici). Bien sûr, cette édition a connu de nombreux moments forts sur lesquels je reviendrai mais cette journée convoquait les émotions de l’enfance. Et qu’est-ce qui pourrait bien rivaliser avec les émotions de l’enfance ? Ces moments inestimables à regarder et commenter les films de Delon avec mon père. L’acteur de nos films préférés. Ceux que nous regardions inlassablement à chaque diffusion télévisée. Ceux qu’il m’enregistrait précautionneusement sur les cassettes VHS. Ceux à l’origine de ma passion dévorante pour le cinéma. Les Gabin aussi, le « patron » comme l’appelle Delon. Alors, tout naturellement, dans mon premier roman qui est un hommage au cinéma mais aussi à mon père, mon héros, c’est autour du Cercle rouge que l’intrigue tourne (qui se déroule aussi dans la suite Mélodie de l'hôtel Majestic à Cannes, ainsi nommée en référence à...Mélodie en sous-sol, film avec Alain Delon, suite dans laquelle a été prise la photo ci-dessous) et autour de cette fameuse citation : «Quand des hommes, même s'ils l'ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d'entre eux et ils peuvent suivre des chemins divergents. Au jour dit, inéluctablement, ils seront réunis dans le cercle rouge.»

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    Le 19 Mai 2019, j’avais donc rendez-vous avec les émotions de mon enfance, avec mes premiers élans passionnés pour le cinéma, avec le héros de Visconti, Clément, Deray, Verneuil, Losey, Giovanni, Melville, avec Tancrède, Roger Sartet, Robert Klein, Roch Siffredi, Gino sans oublier le glacial, élégant et solitaire Jef Costello. Comme un clin d'œil du destin, ce jour était aussi accessoirement celui de mon anniversaire.

    Comme souvent, c’est dans la salle Buñuel qu’avait lieu la master class. Dès 8H30 pour ce rendez-vous de 11H, il y avait déjà quelques cinéphiles qui ne voulaient pas manquer ce grand moment de cinéma et qui, peut-être, eux aussi, avaient rendez-vous avec leur enfance.

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  • Mon avis sur l'hôtel Mercure Cannes Centre Univers

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    C’est à l’Hôtel Cannes Centre Univers que j’ai eu le plaisir de séjourner pour couvrir mon 19ème Festival de Cannes (au sujet duquel vous pourrez retrouver une série d’articles à partir d’aujourd’hui sur mon blog cinéma quotidien Inthemoodforcinema.com et sur mon blog Inthemoodforcannes.com. Vous pouvez d’ores et déjà y lire mon article sur la projection du film Les plus belles années d’une vie de Claude Lelouch, ici). Et sans doute cet hôtel a-t-il fortement contribué à ce que ce soit un de mes plus joyeusement mémorables festivals cannois…

    Tout avait pourtant mal commencé.  L’hôtel deux étoiles où je devais séjourner ayant jugé préférable de maintenir un client qui avait décidé de prolonger son séjour (pour la suite duquel, lui, n’avait pas réservé) dans la chambre d’hôtel que j’avais réservée et alors que l’hôtel était complet (le mystère demeure toujours quant aux raisons pour lesquelles ce client travaillant « dans l’évènementiel » a eu droit à une chambre dévolue à quelqu’un d’autre), me relogeant dans un studio censé être un surclassement par rapport à la chambre avec tout de même odeurs nauséabondes, évier bouché, fils disgracieux  et nuisances sonores  en prime, et prétextant que dans un deux étoiles je ne pouvais demander plus car on me « fournissait un hébergement » et parce qu’on me faisait « déjà un très bon prix » (au passage égal au prix que j’ai payé dans le 4 étoiles où j’ai séjourné ensuite). Je ne comprends d’ailleurs toujours pas en quoi un client de 2 étoiles appartiendrait à une sous-catégorie qui permettrait à l’hôtelier de le promener comme bon lui semble et pourquoi il reviendrait alors au client de bonne foi (lui) de se taire. L’honnêteté me doit de préciser que ces deux nuits ne m’ont pas été comptabilisées, preuve aussi que le tort ne m’incombait pas.

    Heureusement pour moi, le temps où tous les hôtels cannois étaient complets toute la durée du festival est révolu. Un coup de chance (lié à un désistement) et  la compréhension de la directrice du Mercure, particulièrement affable, m’ont permis de me retrouver à l’hôtel Mercure Cannes Centre Univers après l’avoir appelé le matin même. Malgré l’heure matinale à laquelle je suis arrivée, la chambre était déjà prête et une boisson m’a été proposée. J’ai eu la chance d’avoir une chambre rénovée avec vue sur la rue d’Antibes. L’hôtel se situe en effet à deux pas du Palais des festivals et la gare se trouve au bout de la rue. Pour le côté pratique, vous ne trouverez pas mieux ! Au cours de ces 19 années de séjours cannois, j’ai dû tester une dizaine d’établissements hôteliers, je peux donc aisément les comparer.

    Outre son emplacement, idéal pour être dans les premiers au palais du festival sans devoir se lever aux aurores et pour y faire une halte entre deux projections, l’indéniable et incomparable atout de cet hôtel, c’est sa directrice, la chaleureuse et souriante Mme Maria Calabretta, et ses collaborateurs et collaboratrices, d’une gentillesse égale et rare, prenant toujours le temps d’échanger avec les clients, avec toujours un petit mot sympathique pour chacun. Je comprends qu’il y ait autant d’habitués ! On s’y sent vraiment comme chez soi.

    Pour en revenir à l’emplacement, les adeptes de shopping seront ravis avec la rue d’Antibes au pied de l’hôtel, et pour les amateurs de baignade, la plage est aussi à deux pas. Vous trouverez aussi de nombreux restaurants tout autour de l’hôtel comme La Potinière ou, un peu plus loin, le traiteur Lenôtre (que je vous recommande, bons produits et amabilité au rendez-vous là aussi).

    Le Suquet est aussi aux portes de l’hôtels, de même que le marché. Bref, vous ne trouverez pas mieux pour tout découvrir à pied.

    Les chambres seront prochainement toutes rénovées. Si vous séjournez avant la rénovation complète, demandez plutôt une chambre déjà rénovée comme la mienne. La mienne, moderne évidemment, était en effet décorée avec goût (et une pointe d’humour comme le verrez sur les photos ci-dessous), chaleureuse, très confortable (literie exceptionnelle), avec une belle salle de bain, idéale pour se relaxer entre deux promenades ou entre deux séances pendant le festival.

    Autre atout de l’hôtel : sa salle de petit déjeuner qui domine la ville avec une vue à couper le souffle. Au cœur de Cannes, vous y serez néanmoins au calme pour déguster un excellent petit déjeuner (avec choix de produits bios, succulentes viennoiseries, saumon notamment). Vous pourrez aussi venir vous reposer dans cet endroit idyllique dans la journée, ou y travailler tout en jouissant de la vue sur Cannes. Un verre de vin vous y sera même offert au cours de votre séjour.


    L’hôtel possède aussi un fitness et un sauna ouverts de 7H à 20H avec TV à écran plat, bouteilles d’eau et fruits à disposition…et à nouveau vue à couper le souffle en prime.

    Vous l’aurez compris, que ce soit pendant le festival ou à une autre période, si vous souhaitez profiter de la vie cannoise avec un accueil exceptionnel, c’est à l’hôtel Cannes centre Univers qu’il faut aller… Je vous le recommande vivement en tout cas.  Mon séjour s’y est déroulé idéalement, et l’accueil qui m’y a été réservé en a fait un moment particulièrement agréable.

    L’hôtel ne possède « que » 72 chambres (ce qui en fait aussi un lieu à taille humaine) donc ne tardez pas trop à réserver si vous souhaitez y séjourner pendant des périodes plus demandées comme les congrès, festivals ou vacances.

    Affilié Mercure; l’hôtel est aussi membre Longitude Hotels qui  compte aujourd’hui dix hôtels indépendants.

    Coordonnées de l’Hôtel Mercure Cannes Centre Univers

    2, rue du Maréchal Foch
    06400 – Cannes

    Tél : +33 (0)4 93 06 30 00

    Fax : +33 (0)4 93 06 30 30

    info@univershotel.com


    Pour vous rendre au MERCURE CANNES CENTRE Univers

    Catégories : HÔTELS ET RESTAURANTS A CANNES Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • La sélection officielle du Festival de Cannes 2019 (conférence de presse du 18 avril 2019)

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    Retrouvez mon article détaillant la sélection officielle du 72ème Festival de Cannes sur mon autre blog Inthemoodforcinema.com, en cliquant ici.

    Catégories : CONFERENCES DE PRESSE Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • THE DEAD DON'T DIE de Jim Jarmusch en ouverture du 72ème Festival de Cannes : présentation et critique de PATERSON

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    THE DEAD DON'T DIE © 2019 IMAGE ELEVEN PRODUCTIONS INC. TOUS DROITS RÉSERVÉS. / ARTWORK © 2016 FOCUS FEATURES LLC

    Le film d'ouverture du 72ème Festival de Cannes promet une atmosphère singulière autant qu'un tapis rouge d'exception. Sous la présentation du film en question, retrouvez ma critique de "Paterson" du même Jim Jarmusch (film en compétition au Festival de Cannes 2016).

    The Dead Don't Die, le nouveau film de Jim Jarmusch sera présenté à Cannes en ouverture, en Compétition et en première mondiale. 

    C'est avec la projection en Compétition du nouveau long métrage de Jim Jarmusch, The Dead Don't Die, que s'ouvrira le 72e Festival International du Film. Mardi 14 mai, sur l'écran du Grand Théâtre Lumière, le film du réalisateur et scénariste américain sera le premier à concourir pour la Palme d'or. 

    Synopsis : Dans la sereine petite ville de Centerville, quelque chose cloche. La lune est omniprésente dans le ciel, la lumière du jour se manifeste à des horaires imprévisibles et les animaux commencent à avoir des comportements inhabituels. Personne ne sait vraiment pourquoi. Les nouvelles sont effrayantes et les scientifiques sont inquiets. Mais personne ne pouvait prévoir l’évènement le plus étrange et dangereux qui allait s’abattre sur Centerville : THE DEAD DON’T DIE – les morts sortent de leurs tombes et s’attaquent sauvagement aux vivants pour s’en nourrir. La bataille pour la survie commence pour les habitants de la ville.  

    Depuis Stranger Than Paradise, Caméra d’or au Festival de Cannes en 1984, qui fit date dans l’histoire du nouveau cinéma indépendant américain, Jim Jarmusch nous a habitués à ses univers créatifs et mélancoliques, à ses B.O. inspirées, à son humour décalé et aux errances de ses anti-héros dans un monde toujours légèrement étrange. À Cannes, son cinéma rock et élégant souvent à l’étude d’une Amérique différente a été salué par quatre prix dont la Palme d’or du court métrage en 1993 pour Coffee and Cigarettes et le Grand Prix en 2005 pour Broken Flowers.

    En 2016, Jim Jarmusch avait présenté deux films en Sélection officielle : Paterson avec Golshifteh Farahani et Adam Driver, en Compétition, et Gimme Danger, le documentaire musical sur Iggy et les Stooges, en Séance de Minuit.

    Le film sortira en France le même jour que sa présentation à Cannes le 14 mai en soirée, aux États-Unis le 14 juin 2019 puis dans le monde entier.

    La cérémonie d’Ouverture du 72e Festival de Cannes aura lieu le 14 mai 2019. Elle sera retransmise en clair par Canal +, ainsi que dans les salles de cinéma partenaires. L’acteur et réalisateur Edouard Baer en sera le maître de cérémonie.

    Le Jury de la Compétition présidé par Alejandro González Iñárritu remettra la Palme d’or lors de la cérémonie du Palmarès le samedi 25 mai.

    La composition de la Sélection officielle sera annoncée le jeudi 18 avril prochain.

     Plus d’informations sur www.festival-cannes.com (Source : communiqué de presse officiel du Festival de Cannes)

    Critique de PATERSON de Jim Jarmusch

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    C’était le film le plus inclassable de la compétition du dernier Festival du Cinéma et Musique de La Baule (d'où il est reparti avec presque tous les prix, à l'unanimité du jury), oublié du palmarès du  Festival de Cannes (en salles le 21 décembre) .

    Paterson (Adam Driver) vit à Paterson, New Jersey, cette ville des poètes, de William Carlos Williams à Allan Ginsberg, une ville aujourd’hui en décrépitude. Chauffeur de bus d’une trentaine d’années, il mène une vie réglée aux côtés de Laura (Golshifteh Farahani), qui multiplie projets et expériences avec enthousiasme et de Marvin, l’inénarrable bouledogue anglais. Chaque jour, Paterson écrit des poèmes sur un carnet secret qui ne le quitte pas…

    Le film dont l’intrigue se déroule sur une semaine, est empreint de dualité et est construit en miroir avec une précision fascinante, une fausse simplicité, une douceur hypnotique, un rythme lancinant. Envoûtants. Sa lenteur, certes captivante, en rebutera peut-être plus d’un, pourtant pour peu que vous acceptiez ce rythme, la poésie contemplative du film vous happera progressivement pour vous plonger et vous bercer dans une atmosphère à la fois mélancolique et ouateuse.

    La dualité et la répétition sont partout. Dans le noir et blanc qui obsèdent la compagne de Paterson (un noir et blanc dont elle décore toute la maison, mais aussi les rideaux,  ses cupcakes, ses vêtements). Les jumeaux que le couple voit partout (en rêve pour l’une, dans son étrange réalité pour l’autre). Dans le patronyme « Paterson » qui est aussi celui de la ville où le protagoniste évolue et celle où a vécu le poète dont il s’inspire (William Carlos Williams). Sans oublier les journées répétitives : le réveil, le trajet à pied pour aller en travail, l’écriture d’ un poème dans son carnet secret toujours interrompue par l’arrivée de son patron déprimé, les conversations des passagers de son bus, le retour à la maison en redressant la boîte aux lettres que le chien fait chaque jour malicieusement tomber, les discussions avec sa femme, et la journée qui s’achève par la promenade du chien et la bière au café où une conversation ou un imprévu viennent aussi briser le rythme routinier. Un seul évènement viendra réellement bouleverser ce rythme répétitif tandis que le couple regarde un film de Jacques Tourneur au cinéma, punis d’avoir dérogés à ses habitudes quotidiennes.

    Décrit ainsi, le film pourrait paraître ennuyeux et banal. S’en dégage pourtant une beauté poétique qui sublime l’apparente simplicité de chaque instant, l’ennui routinier qui semble parfois peser sur Paterson (la ville, ville pauvre du New Jersey qui rappelle Détroit dans « Only  Lovers Left Alive » ) et sur Paterson, l’homme. Il regarde ainsi chaque soir les visages célèbres de la ville accrochés dans le bar où s’achèvent ses journées. Admiratif, il écoute une petite fille lui dire le poème qu’elle a écrit et qu’il admire. Il  écoute enfin un touriste Japonais lui vanter les poèmes de William Carlos Williams. Miroirs encore. Ceux de ses regrets, de ses échecs, de sa vie qui semble condamné à cette inlassable routine mais que sublime le plus beau des pouvoirs, celui de savoir jongler avec les mots qui résonnent aux oreilles du spectateur comme une douce et enivrante mélopée.

    Jarmusch, avec une acuité remarquable, capte l’extraordinaire dans l’ordinaire, le singulier dans le quotidien. Les vers qui s’écrivent sur l’écran et la voix de Paterson qui les répète inlassablement est une musique qui s’ajoute à celle de Sqürl, le groupe de Jim Jarmusch, et qui nous charme insidieusement pour finalement nous faire quitter à regrets cet univers réconfortant, tendrement cocasse, et poétique.

    Le film a reçu l’Ibis d’or du meilleur film à La Baule mais aussi celui du meilleur acteur pour Adam Driver et de la meilleure actrice pour Golshifteh Farahani. La tendre nonchalance du premier, sa bienveillance envers l’attendrissante folie de sa femme (Golshifteh Farahani, toujours d’une justesse remarquable) sont en effet pour beaucoup dans le l’enchantement irrésistible de ce poème terriblement séduisant.

    Catégories : COMPETITION OFFICIELLE, OUVERTURE (cérémonies/films) Lien permanent 0 commentaire Pin it! Imprimer
  • Festival de Cannes 2018 : les premières informations officielles

     

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    Comme chaque année, pour ce qui sera mon 18ème Festival de Cannes, vous pourrez suivre ici en direct le festival (ainsi que sur mes autres blogs Inthemoodforcinema.com, Inthemoodforfilmfestivals.com pour la partie cinéma et, pour la partie "luxe", Inthemoodforhotelsdeluxe.com). Vous pourrez également le suivre sur mes différents réseaux sociaux : @moodforcannes et @Sandra_Meziere pour twitter, @sandra_meziere pour Instagram et Facebook.com/inthemoodforcannes et http://facebook.com/inthemoodforcinema pour Facebook.

    Comme d'habitude, je ne partagerai ici aucune "rumeur" sur la programmation mais seulement les informations officielles.

    Pour l'instant, à 41 jours de l'ouverture officielle, nous savons seulement que :

    -Pour sa 71ème édition, le Festival de Cannes aura lieu du mardi 8 au samedi 19 mai! Il commencera un jour plus tôt mais aura une durée identique aux années précédentes

    -Cate Blanchett présidera le jury du Festival de Cannes 2018.

    Retrouvez mon article complet à ce sujet en cliquant ici avec trois critiques de films avec Cate Blanchett.

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    Photo personnelle ci-dessus prise lors de l'hommage rendu à l'actrice dans le cadre du Festival du Cinéma Américain de Deauville.

    -Le cinéaste français Bertrand Bonello présidera le Jury de la Cinéfondation et des Courts métrages de la 71ème édition du Festival de Cannes du 8 au 19 mai :« Qu’attendons-nous de la jeunesse, des cinéastes inconnus, des premiers films ? Qu’ils nous bousculent, qu’ils nous fassent regarder ce que nous ne sommes pas capables de voir, qu’ils aient la liberté, le tranchant, l’insouciance et l’audace que parfois nous n’avons plus. La Cinéfondation s’attache depuis 20 ans à faire entendre ces voix et je suis extrêmement fier cette année de pouvoir les accompagner. »

    -Vivier de nouveaux talents du 7ème art, l’Atelier de la Cinéfondation 2018 accueille ainsi 15 réalisateurs internationaux et leurs prometteurs projets de films. Cette 14ème édition sera, comme chaque année, l’occasion pour ces cinéastes et leurs producteurs de rencontrer des partenaires financiers à Cannes. Un précieux sésame pour passer à la réalisation ! Retrouvez les heureux sélectionnés de l'édition 2018 sur

    http://www.cinefondation.com/fr/.

    -A l’occasion du 50ème anniversaire de la sortie de "2001 : L’Odyssée de l’espace" le samedi 12 mai 2018 à Cannes vous pourrez (re)découvrir en avant-première mondiale le film culte de Stanley Kubrick, dans sa version originale 70mm. La copie sera présentée dans le cadre de Cannes Classics par Christopher Nolan qui a étroitement collaboré avec Warner Bros. Entertainment sur le processus de re-masterisation et qui honorera le Festival de Cannes de sa première venue.  Christopher Nolan participera également à une Masterclass le dimanche 13 mai 2018, au cours de laquelle il évoquera sa filmographie et partagera sa passion pour l’œuvre singulière de Stanley Kubrick.

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    - Ursula Meier présidera le Jury de la Caméra d’or. "Depuis 1994, la réalisatrice suisse façonne une cinématographie audacieuse qui souligne la complexité du monde. Ses 5 courts métrages, 2 œuvres télévisées, 2 documentaires et 2 longs métrages ont chacun rivalisé d’inventivité, et lui ont permis de s’imposer dans le paysage européen" a souligné le Festival de Cannes. Avec 6 professionnels à ses côtés, Ursula Meier désignera la meilleure première œuvre présentée en Sélection officielle, à la Semaine de la Critique - Cannes ou à la Quinzaine des Réalisateurs lors de la soirée de Clôture du Festival de Cannes, le samedi 19 mai.

    -A l'occasion d'une interview dans le Film Français, le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux a annoncé quelques nouveautés  : désormais tout film en compétition devra sortir dans les salles françaises, la presse ne découvrira plus les films avant les festivaliers et la séance de gala sera ainsi la vraie première mondiale, la presse verra ainsi le film à 19h en même temps en Debussy et pour les séances de 22, le lendemain matin dans le grand théâtre Lumière.

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      -Pour cette année a été créé un nouveau prix intitulé "prix de la citoyenneté". Je vous en reparlerai longuement dans un prochain article.

    Dans les sélections parallèles :

    -L’affiche de la compétition de la Semaine de la Critique au prochain Festival de Cannes. Sur cette affiche figure l'actrice Noée Abita, révélation du film Ava de Léa Mysius dont vous pouvez retrouver ma critique ici.

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    -Le réalisateur et scénariste norvégien Joachim Trier présidera le jury de la 57ème Semaine de la Critique qui décernera 3 prix à Cannes. Il sera entouré de l’actrice et jeune réalisatrice américaine Chloë Sevigny, du comédien argentin Nahuel Pérez Biscayart, récent lauréat d’un César pour son rôle dans 120 Battements par minute de Robin Campillo, Eva Sangiorgi, nouvelle directrice de la Viennale, Festival international du film de Vienne et du journaliste culturel français Augustin Trapenard.

     

    En attendant l'édition 2018 du Festival de Cannes en direct, retrouvez, en cliquant ici, mon compte rendu de l'édition 2017.

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  • Et si vous passiez les fêtes de Noël à Cannes ?

     

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    En attendant les premières informations sur le 71ème Festival de Cannes (que vous pourrez bien entendu suivre ici comme chaque année et dont nous venons d’apprendre qu’il serait avancé d’une journée, il aura donc lieu du mardi 8 mai au samedi 19 Mai 2018), un festival que je vous ferai bien entendu suivre en direct sur mes différents blogs comme chaque année, je vous propose quelques idées de séjour à Cannes, une des destinations idéales en France pour les fêtes de fin d’année d’autant plus que les tarifs sont plus attractifs à cette période que l’été ou a fortiori en période de festival du film.

     

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    Cannes, ville qui vit toute l’année, est la destination à laquelle on ne pense pas forcément en premier mais qui n'en est pas moins idéale pour les fêtes de fin d’année, d’abord parce que Cannes c’est plusieurs villes en une. Il y a bien sûr sa célèbre Croisette que vous pourrez arpenter à loisir pour profiter de sa vue dont je ne me suis jamais lassée depuis toutes ces années. Vous y trouverez aussi de nombreuses boutiques de luxe ainsi que dans la rue parallèle, la non moins fameuse rue d’Antibes que jalonnent les boutiques des marques les plus prestigieuses. A l’extrémité de la Croisette, vous trouverez son célèbre palais des festivals dans le cadre duquel a lieu le Festival du Film (évènement culturel le plus médiatisé au monde !) et derrière lequel se trouve le port des yachts où les bateaux rivalisent de gigantisme. Un peu plus loin vous verrez les petites rues pittoresques du Suquet qui ont déjà un petit air d’Italie. Je vous encourage aussi à découvrir le Marché Fortville.

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    Vous pourrez aussi profiter de la plage certes pas pour vous baigner à cette époque mais pour profiter du panorama à couper le souffle et notamment celui sur les îles de Lérins au loin que je vous invite aussi à découvrir notamment l’île Saint-Marguerite, véritable havre de paix, la plus grande des Iles de Lérins qui offre un cadre idyllique, entre les criques et la forêt domaniale de pins et d'eucalyptus. Avec ses 22 kms de sentiers, elle s'étend sur 3 kms, de l'étang du Batéguier et sa réserve ornithologique à la pointe de la Convention. Riche d'histoire, l'île compte également des vestiges archéologiques et le fort Royal, ancienne prison du Masque de fer, qui abrite le musée de la Mer que je vous recommande également de découvrir.

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    En 17 festivals de Cannes couverts du premier au dernier jour, j’ai eu l’occasion d’expérimenter toutes sortes d’hôtels cannois  (du plus au moins luxueux) et toutes sortes de restaurants sur la Croisette. Vous trouverez toutes les bonnes adresses que je vous recommande que vous pourrez réserver ici. J’ai même fait de l’un de ces célèbres hôtels le cadre de mon premier roman, « L’amor dans l’âme », un roman dont l’intrigue se déroule au cœur du Festival de Cannes et d'un célèbre palace cannois. C’est d’ailleurs probablement l’hôtel cannois que je préfère.

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    En mai dernier, j’ai même eu le plaisir d’y poser avec mon roman dans la célèbre suite Mélodie en sous-sol qui est le cadre d’un chapitre essentiel de l’intrigue.   

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    Je connais par cœur la Croisette et les palaces qui la jalonnent et mon préféré reste ainsi l’hôtel Barrière le Majestic (que vous aurez peut-être ainsi reconnu) . Parmi les multiples atouts de l’hôtel, son célèbre ponton et son cocon que vous apprécierez tout particulièrement l’hiver : son Centre de remise en forme avec son Espace sensoriel avec sauna, hammam et douche expérience du Spa Diane Barrière by Clarins.

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    J’ai aussi une affection particulière pour l’hôtel Gray d’Albion avec son nouveau restaurant particulièrement agréable, un emplacement luxueux et là aussi idéalement situé entre la Croisette et la rue d'Antibes dont certaines chambres bénéficient là aussi d'une vue idyllique sur la Croisette.

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    D’autres adresses très élégantes situées en retrait de la Croisette (là où vous trouverez aussi de splendides maisons et appartements), comme l’hôtel Cavendish ou l’hôtel Renoir, vous permettent aussi d’en profiter sans en subir ce qui pourrait être considéré comme un inconvénient : l'agitation constante de la Croisette.

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    Avec toutes ces adresses, vous ne pourrez pas dire que vous ne trouvez pas un point d’ancrage pour découvrir Cannes qui exhale un charme singulier à cette période, bien différent de celui de la période du Festival du Film à l’occasion duquel rien ne vous empêche alors de revenir. Alors, conquis ?

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